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DNA Groupe

DNA Groupe est né de la volonté de réinventer le notariat en y injectant toutes les innovations qui permettent à ce métier d’être toujours plus à l’écoute de ses clients, tout en y perpétuant l'esprit, la finalité et les valeurs.

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Situé au numéro 85 du célèbre boulevard parisien, DNA Haussmann accompagne ses clients particuliers et institutionnels sur tout le territoire depuis 1974. 
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Fondée en 1641, DNA Paris fait partie des plus anciennes études de Paris et accompagne ses clients particuliers et institutionnels dans tous les domaines du droit. 
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Étude historique du groupe, l’Office Notarial DNA Villeneuve Saint-Georges a été créée en 1627 et continue d’allier expertise et proximité avec ses clients. 
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Points de vue & actualités

Mandat de protection future et vente du logement du mandant

Publié le : 01/06/2023 01 juin juin 06 2023 09h17 09 17
Les régimes de protection des majeurs sont soumis à des règles communes parmi lesquelles figurent l’article 426 du Code Civil. Ce texte requiert l’autorisation préalable du juge des tutelles ou du conseil de famille pour disposer des droits relatifs au logement de la personne protégée ou de son mobilier par l’aliénation, et effectuer la résiliation ou la conclusion d’un bail en son nom...

Appel contre le jugement de divorce limité à la demande de prestation compensatoire et indivisibilité de l’action

Publié le : 31/05/2023 31 mai mai 05 2023 13h56 13 56
À la suite du prononcé du divorce, l’ex-femme avait fait appel de la solution, mais avait limité l’appel aux conséquences du divorce, alors formé pour une demande de prestation compensatoire, dont l'irrecevabilité pour nouveauté avait été soulevée par l’ex-mari...

Droit de préemption urbain et vente immobilière : quelles conséquences ?

Publié le : 24/05/2023 24 mai mai 05 2023 17h57 17 57
Le droit de préemption urbain est la priorité accordée à une collectivité locale pour acquérir un bien immobilier dans le cadre d’une vente ou d’une donation non familiale. C’est l’une des seules limites qui s’oppose à la liberté du propriétaire de vendre son logement à l’acheteur de son choix...

Consentement à l’adoption et délai de rétractation

Publié le : 23/05/2023 23 mai mai 05 2023 18h03 18 03
Une femme donne naissance à un enfant en janvier 2016. Son épouse sollicite une adoption plénière de l’enfant en avril 2016, à laquelle la mère biologique a consenti en février 2016. En décembre 2018, la demanderesse à l’adoption se désiste de l’instance, puis sollicite de nouveau l’adoption plénière...

Pas d’indemnité globale de dépréciation du surplus pour le syndicat des copropriétaires

Publié le : 17/05/2023 17 mai mai 05 2023 17h44 17 44
En matière d’expropriation, le syndicat des copropriétaires ne peut pas représenter chaque copropriétaire pour la défense de ses droits sur son lot et ne peut donc pas se voir allouer une indemnité de dépréciation du surplus de l'ensemble de la copropriété...

Impossible de lier le paiement de la prestation compensatoire à la liquidation du régime matrimonial

Publié le : 16/05/2023 16 mai mai 05 2023 09h01 09 01
Le juge ne peut pas autoriser le débiteur de la prestation compensatoire à s’en acquitter « soit en capital, soit en moins-prenant sur la part lui revenant au moment de la liquidation du régime matrimonial. » car ce faisant, il diffère le paiement du capital alloué...

Comment déceler une donation déguisée ?

Publié le : 11/05/2023 11 mai mai 05 2023 15h54 15 54
Lors de l’ouverture d’une succession, il n’est pas rare de découvrir que le défunt ait offert des cadeaux ou donné de l’argent à certains héritiers, ce qui n’est pas problématique tant que ceux-ci sont effectués sans qu'il ne soit porté atteinte aux droits des cohéritiers. 
La situation est différente si certains dons sont suspects, de sorte que lorsqu’ils sont examinés de plus près, l’apparence de l’acte juridique, généralement conclu à titre onéreux par le défunt, revêt en réalité la qualité d’une donation.

Dans ce genre de situations, si les soupçons sont avérés, l’acte est qualifié de donation déguisée. 

Qu’est-ce qu’une donation déguisée ? 

La donation déguisée comme son nom l’indique n’est pas une donation déclarée. 

Une donation est un acte engendrant l’appauvrissement du donateur dans une intention libérale. Quand elle est déclarée, elle donne éventuellement lieu à la perception, par l’administration fiscale, de droits de mutation à titre gratuit et devra ensuite être rappelée lors de la succession. 

Quand elle est déguisée, elle a pour but d’échapper au paiement de ces droits, ou d’avantager un héritier au détriment des autres

Pour dissimuler la réalité de la donation, cette dernière revêt la forme d’un acte à titre onéreux. En apparence, un bien, ou une somme d’argent, est transféré vers le patrimoine du donataire, avec une contrepartie pour le donateur, mais en réalité, le patrimoine est transféré à titre gratuit, ou en contrepartie d’une somme sous-évaluée

Au titre des donations déguisées les plus courantes se trouve la vente pour laquelle l’acheteur ne paie jamais le prix, ou où le vendeur remboursera secrètement le prix d’achat à l’acquéreur. Mais d’autres formes de donation déguisées existent, comme le transfert de parts sociales entre associés contre un apport fictif du donataire, ou encore la conclusion d’un bail a un prix fictif ou dérisoire. 

Sont par ailleurs automatiquement jugées illicites les donations déguisées opérées au profit d’un concubin et d’un incapable (mineur ou majeur sous tutelle).

Comment prouver une donation déguisée ?

Toutes les donations déguisées ne sont pourtant pas illégales, et la jurisprudence admet qu’elles sont recevables, dès lors que deux conditions cumulatives sont remplies. D’une part l’acte est établi dans le respect des conditions de forme, de l’ordre public et des bonnes mœurs, dans le cas d’une donation déguisée sous forme d’un acte de vente sur un bien immobilier par exemple, la condition relative à la signature devant un notaire est respectée.    
D’autre part, le donateur et le donataire satisfont les conditions de consentement et de capacité juridique à donner ou recevoir.  

Concernant à proprement parler de la contestation d’une donation réputée déguisée, il est nécessaire que celle-ci dissimule un important avantage successoral, ou une réduction anormale de la charge fiscale.

La contestation peut directement être formulée par l’administration fiscale, qui dispose de la possibilité de vérifier les liens de filiation entre les parties à l’acte, l’intervalle de temps entre l’acte et le décès, la valeur du bien et le mode de paiement, etc., sinon par les héritiers en cas d’atteinte à la réserve successorale, par saisine de la juridiction civile, sachant que la preuve du déguisement de la donation peut être apportée par tous moyens.  

Quelles sont les conséquences en cas de donation déguisée ? 

Lorsque la preuve d’une donation déguisée est rapportée par l’administration, celle-ci dispose de la possibilité d’engager une procédure de redressement, auquel cas le donataire devra s’acquitter des droits relatifs à la donation, assortis d’intérêts de retard. Toutefois, lorsque la donation déguisée n’avait pas pour seule intention d’échapper aux droits de mutation, le Fisc peut assortir le redressement d’une majoration de 40% en cas de mauvaise foi, et de 80% lors de manœuvres frauduleuses.  

Concernant l’action engagée par les héritiers, si le caractère déguisé de la donation est avéré, l’acte n’est pas annulé et le bien restitué, cependant, le montant de la donation est ajouté à celui de la succession afin que les parts de chaque héritier soient recalculées, et lorsque le donataire est héritier à la succession, la donation déguisée s’impute sur sa part d’héritage. 
Si l’acte litigieux a pour conséquence que les héritiers réservataires ne puissent percevoir la part minimale qui leur revient de droit, le donataire peut être contraint d’indemniser les héritiers à hauteur de ce qu’ils auraient dû percevoir.

En cas de véritable intention frauduleuse, les héritiers pourront toujours engager une procédure pour recel successoral. 
 

L'obligation du locataire protégé est-elle conforme à la Constitution ?

Publié le : 11/05/2023 11 mai mai 05 2023 15h23 15 23
L'article 15 III de la Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 contraint le bailleur qui donne congé à son locataire âgé et démuni (c'est-à-dire de plus de 65 ans et dont les ressources annuelles sont inférieures au plafond de ressources pour l'attribution d'un logement conventionné) à lui offrir un logement de remplacement à proximité de son adresse actuelle...

QPC : responsabilité des parents du fait de leur enfant mineur

Publié le : 10/05/2023 10 mai mai 05 2023 12h23 12 23
En application du quatrième alinéa de l’article 1242 du Code civil, les père et mère qui exercent en commun l’autorité parentale sont solidairement responsables de plein droit des dommages causés par leur enfant mineur habitant avec eux...

Est-il possible d’obtenir un prêt immobilier sans apport ?

Publié le : 04/05/2023 04 mai mai 05 2023 15h15 15 15
Lors d’un investissement immobilier, que ce soit pour votre résidence principale ou une mise en location, vous devrez certainement constituer un dossier en vue d’obtenir un crédit. Les banques vont vous demander le montant de votre apport personnel. Mais voilà pour diverses raisons, vous n’avez pas pu vous constituer une épargne...
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